On poursuit les découvertes de BD grâce à #NetGalleyFrance avec Grand Louis, paru chez Dupuis, de Louis de La Taille.
Résumé : Louis et sa compagne peinent à se trouver de l'espace entre leur job et leurs trois enfants. Mais c'est encore pire lorsque que des animaux sauvages envahissent soudain Paris... dont un marcassin qui s'incruste chez eux. Une vraie pandémie de grosses bébêtes ! Obligée de se confiner, la famille va devoir apprivoiser ce drôle de vivre ensemble, alors que dehors cerfs et blaireaux prennent calmement le contrôle de la capitale... Une fable confinée, poétique et décalée, premier tome d'une tendre chronique familiale réalisée par Louis de La Taille.
L'avis de Mélodie :
J'ai souhaité découvrir cette BD par curiosité, et en toute sincérité, je ne sais pas trop quoi en penser. J'ai passé un assez bon moment, mais je ne suis pas certaine d'avoir été réceptive aux messages sous-jacents, ou tout du moins pas à tous.
Niveau graphisme, les planches sont plutôt agréables, avec des couleurs bien choisies. le trait est assez simple, en atteste les yeux des personnages, mais cela ne gêne en rien la lecture. Après tout, le récit colle à ce type de design.
Côté histoire, nous suivons Louis et sa famille dans leur quotidien. Trois enfants, dans Paris, ce n'est pas une mince affaire. D'autant plus lorsque l'épidémie commence ainsi que le confinement. Louis et sa compagne sont assez peu d'accord, et je crois que c'est un point qui m'a un peu ennuyée. Bien sûr, il est normal qu'il y ait des divergences d'opinion, mais c'est l'image que renvoie sa compagne dans ces moments qui me gêne.
En dehors de ça, l'implication des animaux n'est pas claire dans ce premier tome, alors on profite juste de leur beauté et des troubles causés par le marcassin, sans comprendre ce que tout ça signifie.
Vous l'aurez compris, c'est donc une lecture en demi-teinte pour moi. L'idée de base m'intéressait, la famille est agréable à suivre, mais je me suis sentie un peu trop perdue pour que le tout me touche autant que je l'espérais.
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